Et bien le bonjour et bienvenue sur cet article dédié à Apocalypse de Get Back.
Suite de notre petit périple à Arles, nous nous attaquons à du lourd, à savoir Apocalypse, tout juste rentrés de notre voyage temporel dans leur Manoir.
Nous nous installons alors pour le briefing et c’est à ce moment où Jess a percuté : Apocalypse est une salle d’horreur…
Bon, posons les choses tout de suite, nous allons devoir sauver l’humanité. Si vous lisez ces lignes et que vous faites partie du gouvernement, faites appel à nous la prochaine fois, c’est pas la première fois qu’on sauve l’humanité. À croire qu’on ne confie ces missions qu’à des joueurs d’escape games… Étrange, n’est-il pas ?
Notre mission, récupérer un vaccin qui sauvera l’humanité
Bref, on arrête tout de suite de vous raconter n’importe quoi, nous allons être téléportés en 2056 en pleine apocalypse zombie. Get Back aurait été contacté par une agence gouvernementale qui aurait intercepté un message d’un certain Docteur Mitch.
Ce message envoyé en 2056, proviendrait de Montréal et nous prévient d’une épidémie qui aurait décimé une majorité de la population mondiale. Il faut savoir que cette épidémie est due à une bactérie qui transforme les morts en zombies, charmant…
Le Docteur Mitch aurait cependant créé un vaccin contre cette bactérie, mais il est trop tard, plus personne ne peut être soigné de cette maladie en 2056. Notre objectif va alors être d’aller dans le futur, récupérer ce vaccin et le ramener dans le présent.
Ces éléments en place, nous reprenons la machine à voyager dans le temps. C’est d’ailleurs toujours aussi bien fait et l’un des points forts de Get Back.
Pas très rassurés, nous ouvrons la porte de la machine et là, nous en sommes restés bouche bée. L’ambiance dégagée par Apocalypse est folle ! Entre la qualité des décors et la fumée au sol, on se croirait plongé dans un univers que les amateurs de The Walking Dead ou de Resident Evil apprécieraient tout particulièrement. On pourra y trouver pas mal de clins d’œil très bien répartis dans le jeu et les décors.