La réflexion, le maître mot de Sherlock
Nous avons également apprécié résoudre les énigmes que proposait Sherlock. Nos game masters nous ont annoncé que c’était leur salle la plus difficile, pourtant nous n’avons pas partagé ce sentiment. Ce seront votre logique et votre réflexion qui seront mises à rude épreuve mais sans pour autant vous laisser ce sentiment de difficulté intense. Même si la difficulté est quelque chose de purement subjectif, il se peut que votre groupe ait du fil à retordre !
Vous passerez également par quelques phases de fouille mais qui sont pour le coup peu présentes, ce qui n’est pas plus mal pour un thème qui fait surtout place à la réflexion. Attendez-vous cependant à ce que quelques cadenas se mettent au travers de votre route, ce qui pourra peut-être rebuter les allergiques aux cadenas.
Attention à une énigme dont la manipulation ne peut se faire qu’une seule fois. Si vous avez le malheur de faire une erreur ou de ne pas être assez attentif, il sera beaucoup plus compliqué de la résoudre (dans le pire des cas, le game master pourra toujours vous venir en aide).
À jouer à 4 pour un meilleur confort de jeu
Sherlock peut être jouée jusqu’à 8 joueurs, mais nous vous déconseillons de jouer à ce nombre. Nous étions 4 joueurs et cela nous semblait être idéal, vous pouvez tenter l’expérience avec une personne supplémentaire, mais pas plus.
Nous sommes sortis en 38 minutes, quand on vous avait dit que nous n’avons pas eu trop de mal à résoudre la salle, on ne vous a pas menti ! Nos game masters nous rejoignent alors dans la salle, pour que nous puissions leur faire le rapport de notre enquête.
Nous sortons ensuite de la salle pour débriefer en compagnie de nos hôtes qui prennent autant de plaisir que nous à échanger, toujours avec un large sourire. C’est donc avec plaisir que nous vous conseillons Sherlock Holmes pour les joueurs qui ont quelques salles à leur actif. Les énigmes étaient plaisantes à résoudre et le cadre de Sherlock Holmes est très bien respecté. En plus les game masters sont adorables, qu’est-ce qu’il vous faut de plus ?